Je dois admettre que pour un premier article j'ai du retard mais comme on dit, "mieux vaut tard que jamais". Si vous avez des attentes vis-à-vis des différents articles qui vont venir, n'hésitez pas à m'envoyer un e-mail (apaniel@ddu.ipev.fr). Ce premier article va plus être de la lecture et une présentation globale, et surtout commentez !
Nous sommes donc partis le 3 janvier 2018 de l'aéroport Roissy Charles de Gaulle direction l'Antarctique. J'ai eu la chance d'avoir une partie de ma famille ainsi que mes meilleurs amis qui m'ont accompagné lors de mon départ.
A l'aéroport, j'ai retrouvé une partie de mon équipe; nous sommes partis avec la rotation R2 du bateau.
Avant cela à R0, le bateau avait déjà amené l'autre partie de l'équipe, à la base de DDU (Dumont D'Urville).
A l'aéroport, j'ai retrouvé une partie de mon équipe; nous sommes partis avec la rotation R2 du bateau.
Avant cela à R0, le bateau avait déjà amené l'autre partie de l'équipe, à la base de DDU (Dumont D'Urville).
Pour tout vous dire; j'ai postulé auprès de l'IPEV (Institut Polaire et Antarctique Française Paul Emile Victor) en décembre 2016 pour le poste de mécanicien-outilleur à DDU.
Afin de valider ma candidature, j'ai eu en janvier; un entretien à Brest dans le siège de l'IPEV, puis des tests psychologiques et médicaux à Paris.
Au bout de 2 mois d'attentes et quelques milliers de sauts d'exclamations de joie et de grands sourires, ma candidature avait enfin été accepté.
Pour notre mission l'IPEV nous fournit la majorité du matériel mais nous avons chacun dû en acheter en supplément. Deux cantines avec les affaires personnelles, collations, produits d'entretien pour 1 an..... devaient être prête pour le départ mi-septembre en bateau de Brest.
Afin de valider ma candidature, j'ai eu en janvier; un entretien à Brest dans le siège de l'IPEV, puis des tests psychologiques et médicaux à Paris.
Au bout de 2 mois d'attentes et quelques milliers de sauts d'exclamations de joie et de grands sourires, ma candidature avait enfin été accepté.
Pour notre mission l'IPEV nous fournit la majorité du matériel mais nous avons chacun dû en acheter en supplément. Deux cantines avec les affaires personnelles, collations, produits d'entretien pour 1 an..... devaient être prête pour le départ mi-septembre en bateau de Brest.
A la livraison des malles, lors du séminaire des hivernants, nous avons pu tous nous rencontrer. Cette semaine de formation nous a permis de mieux comprendre ce qui nous attendait sur place, le travail de chacun et aussi d'échanger entre futurs collègues.
Nous étions également avec ceux qui partaient pour les Terres Australes (Kerguelen, Crozet et Amsterdam). Pour cette mission, l'IPEV m'emploie en tant que volontaire de service civique, "mais je crois bien que je serais même parti pour rien du tout".
Avec le recul: "c'est vraiment le pied lorsque je me dis que je suis en Antarctique. Je réalise enfin mon projet de voyage et continue à m'ouvrir l'esprit sur ce monde".
Nous étions également avec ceux qui partaient pour les Terres Australes (Kerguelen, Crozet et Amsterdam). Pour cette mission, l'IPEV m'emploie en tant que volontaire de service civique, "mais je crois bien que je serais même parti pour rien du tout".
Avec le recul: "c'est vraiment le pied lorsque je me dis que je suis en Antarctique. Je réalise enfin mon projet de voyage et continue à m'ouvrir l'esprit sur ce monde".
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| L'équipe: Antarctique et Terres Australes |
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| L'équipe de la TA68 |
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